Depuis un moment je voulais tester la collection de bandes-dessinées L’homme de l’année. Elle a été lancée par Delcourt en 2013. Le concept est assez simple, proposer l’histoire d’un anonyme, réel ou fictif, qui a pris part à la grande Histoire. Parmi les premiers volumes de la série, l’éditeur a proposé L’homme de l’année 1815 : L’homme qui hurla « merde ! » à Waterloo. Sept ans après sa sortie, l’album est à nouveau mis en avant avec cette année propice à l’évocation des souvenirs napoléoniens. Le titre m’avait interpellé, moi qui, nantaise, ait vécu dans une ville où l’image de Cambronne est très présente. Je vis à quelques pas du cimetière où il repose et traverse parfois le cours qui porte son nom. Pourtant, avouons-le, comme tous les petits nantais, enfant j’ai avant tout retenu que l’homme était resté célèbre pour avoir dit « merde ». Piquée par la curiosité j’ai donc donné sa chance à la bande-dessinée.
jeudi 26 août 2021
lundi 16 août 2021
Un documentaire sur la reconstruction de l’enfance brisée par la Seconde Guerre Mondiale
Aujourd’hui je vous propose un court article sur un reportage, récemment rediffusé sur Arte. Le documentaire La Babel des enfants perdus offre un point de vue original sur la fin de la guerre, particulièrement intéressant pour les 3e et les terminales dont le programme d’histoire étudie cette période. En effet, le film permet d’appréhender la fin de la guerre autour d’une question concrète, que deviennent les enfants isolés dans un pays défait ? Il y a quelques semaines, je vous avais parlé ici du film Les enfants de Windermere. Il revenait sur le travail de réadaptation des enfants juifs après leur passage dans les camps du régime nazi. Avec La Babel des enfants perdus, on poursuit la réflexion sur ce thème puisque le documentaire se concentre sur un centre d’accueil des mineurs perdus au milieu de l’Allemagne dans les mois qui suivent la guerre.
mardi 10 août 2021
Mince alors… Où trouver des photographies de ma famille ?
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Un souvenir familial attendrissant ! Dort-il aussi dans les tiroirs de quelque cousin à qui la photo fut probablement envoyée ? (Famille Aubin) |
Deuxième article de la nouvelle rubrique « Mince alors… », nous allons aborder une question récurrente à propos des recherches généalogiques. Elle se pose assez rapidement au nouveau passionné qui découvre la discipline. Tout aussi vite, il se précipite sur les réseaux pour demander de l’aide aux chercheurs plus chevronnés. Comme pour l’article précédent, « Mince alors… De quoi sont morts mes aïeux ? », je vous offre quelques pistes pour commencer vos recherches.